Paris résiste à la baisse des ventes de bureaux .

Bilan de 2013

2011 et 2012 comptaient 7 grandes transactions sur les surfaces supérieures à 10.000 m². Le volume total de ces transactions équivalait à 114.000 m². Par rapport à ces résultats, l'année 2013 parait infructueuse puisqu'elle n'a enregistré que 2 grandes transactions, dont l'acquisition d'un immeuble à construire de 31.000 m² fait par le Conseil Général des Hauts-de-Seine. Le volume des 2 transactions vaut au total 51.000 m², une bien maigre consolation par rapport aux deux années précédentes. Malgré le faible résultat du secteur des surfaces supérieures à 10.000 m², le marché des ventes à utilisateur de 2013 montre quand même de bons résultats sur les surfaces inférieures à 500 m². Il détient même les ¾ des ventes à utilisateurs.

Paris résiste.

Même si les ventes de bureaux ont chuté, Paris résiste et continue à rester le principal marché de la vente de bureaux libres. La capitale française a enregistré 136 transactions soit 65.600 m² de bureaux vendus sur l'année. Malgré la crise, les beaux quartiers de la capitale restent dynamiques. Le marché y est même deux fois plus actif. La preuve, le secteur de Paris Centre Ouest a réalisé 87 transactions sur l'année. La valeur d'acquisition des bureaux ne cède donc pas à la pression d'une demande en berne et d'une offre en hausse. Ainsi, avec 5.328 euros/m², la valeur d'acquisition en 2013 n'a baissé que de -3% en un an sur Paris contre -5% sur la France.

Les opérateurs immobiliers sur le marché francilien comme ALTEAGROUP tablent sur une amélioration continue cette année.